Maison de Sangoku, Chichi, Sangohan et Sangoten

C'était par un beau matin de printemps. Le soleil venait de ce lever, et il ressemblait à un don venu du ciel. Les oiseaux chantaient dans les branches encore humide du matin. Pendant que certains couraient à droite à gauche, d'autres prenait e temps de ce réveiller comme quelques oiseaux au plumage noire et avec un ventre bleu. En effet, la nature ce réveillée et nous livrait son plus beau visage, visage qui fallait en profiter avant qu'une nouvelle catastrophe arrive.

Comme tous les matins, Sangohan c'était levé le premier et était allez rendre une petite visite à sa famille. Bien entendu il alla courir un peu et faire un peu d'exercice. Son père n'étant pas encore revenu, il allait dans la maison de son enfance afin premièrement de dire bonjour à sa mère, et d'autre part il espérait tirer Sangoten du lit afin de pouvoir s'entrainer avec lui. Les sayens aiment ce battre, et par conséquent s'entrainer était presque quotidien pour eux. Sangohan ne dérogeait pas à la règle. En allant vers la maison, il aperçu pleins de rochers, dispersés un peu partout sur le chemin. On aurait dit que les pierres avaient été placées là.

La maison était située sur la plaine, loin de la ville et de son agitation. Il y avait autour une grande forêt, ou d'innombrables animaux vivaient; tel que des biches, des dragons, des cerfs, des sangliers,..... On peux entendre, si on tend bien l'oreil, couler un ruisseau non loin de la. La vie était paisible ici. Un grand champ d'herbes ce trouvait devant la maison, et un chemin conduisait jusqu'à l'entrée de cette dernière. Il était facile de savoir ou elle était une fois que l'on avait passé la forêt, mais jusqu'à présent seul la famille connaissait le chemin. Il y eu aussi les créatures maléfiques, mais comme elles n'étaient plus de ce monde, ou était le problème? Ainsi s'écoulait la vie de cette petite maison, reculée de tout, mais ou il faisait bon vivre. Sangohan arriva bien vite à la maison. La voix des airs étaient quelque chose de formidable, et donc autant en profiter.

La vue du ciel était magnifique: on pouvait voir la forêt dans son ensemble; elle était grande, belle et majestueuse. La maison du dehors semblait petite, mais bien au contraire elle était grande et assez confortable d'après l'expérience à savoir la vie qu'avez mené Sangohan jusqu'à présent.

Donc il toqua à la porte, et attendit que sa maman vienne lui ouvrir. Il lui sauta dans ls bras et lui dit:

« Maman. Comment vas-tu? »

Elle semblait allez bien et elle lui répondit:

« Cela va très bien et toi? »

« Sa va aussi. Dit moi, est ce que Sangoten est ici? Puisque j'aimerais allez le faire bouger un peu. Je te le rapporterer pour le diner. Rassure toi. »

En effet Chichi avait le don de ce faire du soucis pour ses enfants, mais elle s'en faisait tout le temps. Bref Sa maman lui répondit qu'il était la et on pouvait entendre un cri provenant de sa bouche et appelant Sangoten à venir ici. Elle laissa entrer Sangohan dans la maison, et lui prépara un bon café, après lui avoir demandé. Tout était prêt afin que son petit frère mange quelque chose. Sangohan en profita pour prendre du pain, la tartiner de beurre, et la savoura en attendant que son frère vueille bien la peine de s'habiller et de venir manger.

Saïyan Messages : 12 Date d'inscription : 31/05/2008 Age : 29

En me réveillant petit à petit,j'entendit les oiseaux chantaient,les cerfs courirent,et un toquement a plusieurs reprise à la porte.Ensuite ma mère commenca a parler avec une voix étrangement familière:

" Maman. Comment vas-tu? "

" Cela va très bien et toi? "

" Sa va aussi. Dit moi, est ce que Sangoten est ici? Puisque j'aimerais ... "

D'un coup cette voix,je l'a reconnue,c'était celle de mon grand frère Sangohan qui devait être venu pour dire bonjour ou chercher quelque chose mais quoi?

Je décida de me levé et j'alla me lavé les mains et le visage afin de descendre propre.Je j'enfila une paire de chausette,un slip,un t-shirt,un pantalon et ma paire de chaussure.Je désendis les escaliers,serra la main de Gohan,fis la bise a ma mère et commenca a parlé en me préparant une tartine au beurre et à la confiture de fraise et un bol de chocolat chaud :

-Sangoten,mon fils,ton frère veut te prendre se matin pour aller s'entrainer avec toi.As-tu fait tes devoirs que je t'ai demandé de préparer hier soir?

-Oui,maman,je les ai terminés.Je peux alors partir avec Sangohan m'entrainer?(s'entrainé avec lui,pffff trop facile c'est de la rigolade)

-A une seule condition,que tu débarrases la table!

-D'accord maman!

Je me mis au travail directement.2 tases de café,1 bol de chocolat,3 couteux...ras-le-bol (je vais m'entrainer sans la débarraser),je parti alors avec Sangohan de la maison et je pris la voie des airs.Quand soudain on entendit tout près de la maison un sifflement et un cri :

-Sangoten la table n'est pas rangééééééééééééééééééééé!!!!!!!!!!!!

-Dêpechons-nous on doit y allé!

On se posa,Gohan et moi près d'un arbre au abord de la maison,à environ 300 mettres et notre mère demanda a Sangoku de venir me rechercher!Soudain,une silhouette s'approchi de nous...

Hs:un modo svp pour le pnj sangoku!

[Hrp:Essayer de ne pas trop écrire en bleu et en noir, car on voit rien ]

[Pas obligé d'appeler un administrateur. Sangoku n'est pas encore la, donc pour le moment utilisons des personnages secondaires. ^^]

En effet, en l'espace de quelques minutes, Sangoten s'était levé. Il arriva dans la cuisine et Sangohan lui dit:

« Alors petit frère. Bien dormit? J'espère que tu t'es bien reposé, car l'entrainement va être très dure. »

Il eu un sourire et fini sa tartine. Il n'avait plus fin, et débarrassa déjà ce qu'il pouvait. Il ne restait plus qu'à attendre Sangoten. Ce fut le cas rapidement pour lui, et comme à son habitude Sangoten rangé mal les choses. Dans sa chambre, tel que le connaissait Sangohan, c'était le bordel. Encore plus que lui, mais ces problèmes ne le concernait plus car la moitié du temps il était ici et à l'université. Une fois dehors, le soleil brillait et les deux frères allèrent non loin de la maison. Sangohan voulait savoir si Sangoten savait voler, car la dernière fois il devait lui apprendre à voler. C'était ce qu'il avait convenu. Alors qu'il allait lui poser la question, une ombre massive approchée de la maison. Sangohan, en temps que grand frère demanda:

« Qui vas-là? »

La voix répondit:

« C'est moi, ton grand père. Je viens discuter avec votre mère. Allez vous amuser. Et puis je sent que la discussion va vous ennuyer. »

En effet, la voix n'était autre que leur grand père. Il passa rapidement, les embrassa dans ses bras, et retourna en direction de la maison. C'était du moins plutôt Sangohan qui souleva son grand père, et ce dernier rigola de la situation. Une ois reposé et partie, le grand frère ce tourna vers le petit et lui dit:

« Prêt pour apprendre à voler? Tu verras c'est facile comme tout. »

Il attendait sa réponse avant de commencer à lui apprendre à voler comme tout bon sayens.

[HRP: Sangoten faudrais que tu écrives en italique sauf pour les paroles biensûre.]

tu fait trop despace entre les paroles

[edit by gaara] = laisse ça au staff merci.

[HRP : J'espère que le topic n'est pas complètement mort cyclops

]

Après son réveil, Reno marcha quelques temps sur les plaines, sentant l'herbe rafraichir ses chaussures. Il venait de se réveiller au milieu d'un endroit qu'il n'avait jamais vu auparavant, mais il savait qu'il ne se trouvait plus dans " son " monde. L'air y était respirable différemment et jamais un tel lieu aurait put exister. Devant lui se trouvait des étendues de plaines a en perdre la vue. La solitude commençait a se faire ressentir chez Reno, il ne savait ni où il était, pourquoi il était là et quel était son but a présent. La dernière chose dont il se souvenait, c'était ce flash. D'ailleurs, Reno n'avait pas aperçu son ami Tseng, qu'était-il devenu ? La mission qu'il devait effectué a Osmos en tuant cette "Emilie" aurait-elle échouée ? Ils avaient pourtant fait le nécessaire : le poison et la piqure.

*La piqure ?!*

Reno fouilla immédiatement sa poche, il en ressortit une seringue remplit de sang.
Cette seringue aurait servit a l'organisation d'effectuer un remède grâce aux anticorps et d'empêcher d'autres personnes atteintes du Syndrome B de faire quelque chose d'irréversible. Il se devait de faire quoi que ce soit pour transmettre la seringue a ses supérieurs.

Les questions hantaient la tête de Reno.
Décider a ne pas crever ici, il se décida d'accélérer le pas et de trouver une ville.

Après quelques kilomètres de marche, il aperçut au loin une maison. L'espoir commençait a renaitre.
Arrivé devant la maison, qui ressemblait d'ailleurs a une maison habituelle, bien qu'un peu ancienne, il frappa a la porte, espérant que quelqu'un vienne lui ouvrir.

*J'ai la dalle bordel...*

[Désolé du retard Reno. Je ne savais plus que je devais répondre. Non le sujet n'est pas mort. Je ferais plus attention la prochaine fois. Encore désolé.]

Alors que Sangohan essayait d'apprendre à faire voler son petit frère, il sentit une force arrivée vers le lieu ou il ce trouvait. Il aperçut au loin un jeune garçon aux cheveux rouges arriver vers lui. Même si il faisait à peine jour, la froideur de ce lieu y était elle aussi présente. Il jeta un coup d'œil à ce que faisait son petit frère. Ce dernier était entrain de courir derrière la maison à la recherche d'un papillon. Le jeune homme pouvait à présent regarder ce dont l'homme voulait, et ainsi surveiller ces agissements. Ce dernier semblait mal en point, ce qui pouvait s'expliquer par l'entente d'une faible oxygénation, mais aussi à la façon dont ce dernier ce tenait sur ses jambes. Il s'approcha tant qu'il fini par arriver au seuil de la porte sans même avoir remarqué la présence de Sangohan. On entendit un bruit sourd ce faire au niveau de la porte. L'homme en question venait de frapper afin que l'on vienne lui ouvrir. Sangohan descendit de sa position, pour venir ce placer en face de la personne qui venait de frapper sur la porte. L'ouverture fut assez rapide. On pouvait voir, une fois l'entrebâillement agrandit, une ravissante femme au cheveux noire, descendant jusqu'au bas du dos. Cette femme était la mère de Sangohan ainsi que de son frère Sangoten. D'un ton assez surpris et assez froid elle demanda à la présence mystérieuse:

« Qui êtes-vous et que voulez-vous? »

Sangohan, en tant que bon fils cria à sa mère de ce tenir sur ses gardes, et attendait la réponse de 'inconnu. Il ne savait pas si il était la pour une bonne ou une mauvaise chose; mais une chose était sure, il fallait ce méfier de lui et il connaîtrait bien assez vite ses attentions ainsi que son nom et prénom. Pour le moment, il attendait les réponses, afin de lui poser par la suite encore plus de question; ou alors de partir de chez lui au lieu de répondre aux questions. La brise ne s'était pas calmé, mais le soleil était encore plus présent dans le ciel. Une journée venait tout juste de commencer.

[Je poste encore afin de poster autre part. Je ne vais la pas encore attendre indéfiniment.]

L'homme ne semblait pas répondre. Il restait la sans rien dire, aussi droit que Sangohan pouvait l'être. Il le fixa, et demanda à l'homme ce qu'il fesait encore ici. Il ne répondit pas. Sangohan allait devoir employer la manière forte. A peine était il sur le point de s'élancer que sa mère lui dit:

"Mon chérie. N'oublis pas que tu dois allez en cours."
Peut être venait il d'être sauvé par le gongue. Il avait complètement oublié ses cours. Il n'avait pas pu s'entrainer avec son frère et voila que maintenant un individu inconnu restait planté là. Il ce tourna vers Sangoten et lui dit:

"Je vais en cours. On s'entrainera un autre moment je te le promet. Si jamais il tente quoi que ce soit, je sais que tu seras capable de défendre la maison. Je compte sur toi."
Le jeune homme alla prendre son sac, et une fois pris il s'envola dans le ciel en métant les gaz car il ne lui restait plus beaucoup de temps avant le début de son premier cours. Il disparu rapidement du champ de vision de la maison.

Aujourd'hui était un jour très spécial; notamment pour les humains. En effet c'était aujourd'hui qu'avait lieu la Saint Valentin. Il s'agissait ni plus ni moins que d'offrir des fleurs, ou une bague,.... à celui et/ou à celleque l'on aime. Lui n'avait pas de change sur ce point là car il était seul. Il avait bien sa mère comme amour maternelle; mais cela s'arrêtait là. Il était entouré d'amie jolie, mais son coeur n'avait pas succombé à l'une d'elle. Il décida don d'offrir une fleur à sa mère afin de lui prouver qu'elle restera sa mère jusqu'à la fin de sa vie; et aussi pour lui souhaiter une bonne fête. Plutôt que d'allez cueillire une fleur, il préféra allez en acheter une chez un fleuriste. Le temps de l'acheter et de ce rendre à la maison après les cours que sa mère avait préparé un bon repas. Il y avait un peu de tout sur la table et il alalit être seul à manger car son père et son petit frère était en vadrouille; et son grand père venait l'après midi. Il n'vait pas eu beaucoup de nouvelles de Bulma ni même de Végéta et de Trunk, aussi il en reçue de sa mère. Il lui offrit la fleur et lui dit ce qu'il avait pensé auparavant. C'est sur ce beau geste que les deux personnes commençèrent à manger le bon repas; que dis-je, le bon festin qu'avait préparé Chichi.

C'était le jour de sa sortie. Il ne pouvait plus rester en place. Il avait quitté rapidement l'hopital car n'avait pas envie de perdre trop de temps avec de la paperasse et surtout à entendre des médecins lui dire de rester allongé. Ses bléssures lui fesaient encore mal, mais la douleur allez bientôt s'arrêtée et au moins elles étaient moins forte qu'il y a deux voir trois mois. Le voyage en nuage le fit le plus grand bien. Il venait de retrouver sa liberté et après quelques minutes de trajet, il était en vue de sa maison. Déjà à une aussi lngue distance il pouvait sentir la délicieuse odeur du repas que préparait sa maman. Plus il ce rapprochait, plus l'odeur était délicieuse et plus son ventre gargouillé. *C'est quand même meilleur que ce que j'ai eu à l'hopital*. Il arriva enfin à déstination. A peine eu-t-il ouvert la porte de la maison et dit bonjour maman qu'il fut assaillit par cette dernière. Elle commença à pleurer de joie de retrouver son fils enfin sur pied. Quand à lui, il la serra quelques secondes pour luii tappoter sur les épaules et lui dire:
"Merci maman. Excuse-moi de t'avoir fait peur. Mais je suis de nuveau sur pied. Moi aussi cela me fait plaisir de te revoir."

Il alla ce chercher une assiette et la plaça en face de la femme et commença le repas avec elle. Comme bien souvent dés que le repas fut engagée, la discussion portait sur les études, ses potentielles petites amies, les vadrouilles de son père et de son frère ainsi que son entrainement qui était trop intensif et qui laissait moins de temps aux études. Pendant sn hospitalisation il n'avait plus entendu cela, et ce fut avec joie. En attendant sa mère n'ayant pas changé, la discussion s'éternisa comme à son habitude; mais cela était la vie et il le pris comme cela.

Le repas fini, Sangohan voulu débérasser son assiette mais sa mère l'en empêcha. Elle ne supportait pas de voir son mari; qui plus ai ses fils s'entrainaient au détriement de leurs études. Elle ce leva de sa chaise et lui ajouta:

"Tu comptes allez ou? Si c'est pour t'entrainer tu peux faire une crois dessus."
"Mais maman!!!!"
"Il n'y a pas de mais qui tiennent. Tu me fait le plaisir de te poser à ton bureau et de travailler les cours que ton amie Videl t'as apportée. Si tu ne travailles pas tu deviendras comme ton père; un inculte qui ne pense qu'à ce battre. Fille dans ta chambre. Ma décision n'est pas discutable".

Le jeune homme aida à débérasser et ce rendit dans sa chambre. Il avait pu prévoir cela. Sa mère lui demanda de travailler les cours; et c'est ce qu'il fit. Bien entendu en 2 heures l'ensemble fut travaillé, et dés que cela fut fait, il ouvrit la fenêtre de la chambre et s'envola dans les airs. Lorsqu'il fut loin de la maison, sa mère entra dans sa chambre et voyant qu'il n'était plus là s'adossa à la fenêtre et lui cria:
"Sangohan. Tu n'as pas fini de travailler. Reviens ici." Aucune réponse et elle fini par ajouter:
"Je sens que cet enfant tournera mal; comme son père".

» L'emprisonnement de Sangohan
» Fiche de Sangohan
» Absence de Sangohan